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Comment la DATA peut-elle transformer l’investissement immobilier ?

Dans cet épisode, nous allons explorer comment la data peut transformer l’investissement immobilier en croisant des critères de rentabilité locative avec des éléments souvent négligés mais essentiels pour la qualité de vie, comme le risque d’inondation ou la sécurité par exemple. L’idée est de montrer l’intérêt de combiner vos données sur la résidence principale avec nos critères d’investissement pour offrir une vision plus complète et éclairée.

AR au rent je leur ai mis dans la présentation attention il y a un nouveau métier qui va qui va se développer c’est
le conseil en stratégie résidentielle vous passez à côté des attentes des gens vous rendez hyper confortable l’acte
d’achat l’accès à plein de Data mais qui sont pas les datas les plus pertinentes et donc les attentes des gens bah la
défiance elle concerne aussi le monde de l’immobilier elle concerne pas que les politiquesou voilà quand j’ai rencontré François l’une de ses premières phrases
c’était de dire tous ceux qui exploit de la data dès qu’il rajoutent du marketing ils enlèvent de la data pour que ça les arrange sur Internet on est aussi en
concurrence avec des gens qui nous exp qu’il faut aller investir sur des villes où peut-être il fait il fait bon vivre mais peut-être où la tension locative ou
le fait de sortir de ton opération à un moment donné si j’investi dans une ville de 5000 habitants où il y a
50 transactions par an tu vas avoir du mal à revendre nous à tour il est question d’une deuxième ligne de tramu par exemple les acteurs locaux de des
promoteurs des immobiliers sont déjà sur le coup depuis des années ils établissent des hypothèses voilà c’est déjà on sait que tel quartier va prendre
de la valeur l’arrêt il va être ici c’est des négociations qui sont en permanent pouvoir avoir accéder à cette information de l’extérieur c’est un coup
d’avance qui est important un endroit où il fait bon vivre c’est aussi un endroit où fait bon investir moi je dis toujours tout ce qui se loue bien se revend bien
c’est une très forte demande locative tu as une très forte demande sur la transaction j’ai pas d’exemple de ville en France sur lequel je vais avoir un
gros bassin locatif qui est pas un gros bassin de de transaction
[Musique]
bonjour à tous bonjour François bonjour bonjour Pierre Emmanuel salut Jul aujourd’hui on va essayer de comprendre
comment est-ce qu’on peut apporter avec de la data un investissement un petit peu différent une vision différente de notre
investissement avec toi François Pierre Emmanuel on te présente plus on te connaît déjà François est-ce
que tu peux un petit peu te présenter expliquer ton parcours et après on parlera de où vivre oui donc je
m’appelle François j’ai 44 ans dirige depuis une douzaine d’années un bureau
d’études en géomathique donc qui est spécialisé dans le déploiement la gérance en fait de
d’outils de web mapping donc c’est des outils de cartographie en ligne d’aide d’aide à la décision et de de fa
faisabilité environnementale dans une dimension vraiment réglementaire donc on est au carrefour entre des producteurs
de matériaux le monde du BTP et les instances de contrôle que sont lesre et
donc on a plusieurs choix de développement dans une dans une boîte on peut s’agrandir on peut partir
sur nouveau marché mais moi j’avais envie de revenir un petit peu à quelque chose qui me tient à cœur c’est la data
et la stratégie résidentielle pourquoi les gens habitent à tel ou tel endroit c’est ça qui m’intéresse au fond du coup
on a déployé cette ce projet qui s’appelle où vivre qu’on a démarré en
2020 tout doucement on a sorti la carte en 2023 euh et donc aujourd’hui on a une
trentaine de milliers de visiteurs par an on a des inscrits on a des bons
retours et et voilà c’est une belle aventure ça se l’idée l’idée de où vivre
donc c’est revenir toi à tes premiersres amours la la justement cette exploitation de Data c’est à c’est
destiné à qui ou c’est pour qui ou c’est quoi l’objectif justement d’où vivre alors en fait on a
aujourd’hui des stratégies résidentielles qui sont selon
moi limité dans le paysage informationnel qu’on
peut avoir euh quand on veut aujourd’hui réfléchir à déménager quelque part alors
il faut déjà se dire est-ce qu’on a le choix aujourd’hui on a à peu près 10 %
des Français qui change de domicile chaque année on change de domicile en moyenne 4,6 fois dans nos vies donc on
est confronté à ce sujetl plusieurs fois dans nos vies effectivement sur ces quelques millions qui changent de
domicile chaque année beaucoup n’ont pas le choix hein les gens qui qui hitent
quelque part les étudiants qui vont absolument dans cette ville parce qu’ils n’ont pas le choix et cetera mais pour
ceux qui ont le choix je trouve vraiment dommage de se limiter à mettre des alertes sur des sites immobiliers parce
que il y a toute une réflexion en amont sur la question du où vivre et cette réflexion là elle est elle est pas
suffisamment c’est du temps de cerveau disponible non utilisé aussi et c’est je pense intéressant de de de
parler aux gens dans ces momentslà qui qui sont des moments intimes des moments familiaux des moments de réflexion
stratégique des moments individuels voir individualistes aussi on peut partager des causes mais quand il s’agit de
revenir chez soi c’est important les causes existent moins on est vraiment
chez soi chez soi pour sa sa propre stratégie et aujourd’hui les grands acteurs en
fait de ce marché on va dire du où vivre euh il y en a trois c’est le monde de
l’immobilier des promoteurs c’est le monde des territoires qui cherchent à accueillir à faire venir en fait des
plus de plus d’habitants et c’est l’État qui apporte de l’information le
problème des des du monde de l’immobilier du monde des territoires ils ont un problème presque existentiel
c’est qu’il développent énormément de pour donner envie d’acheter ou d’aller habiter à tel ou tel endroit mais ils
sont limités sur l’objectivité ils vont pas forcément aller parler de ce qui
préoccupe réellement les gens aujourd’hui concrètement on parle de changement climatique on parle de
pesticides on parle de qualité de l’eau du robinet et c’est des choses qu’on qu’on voit pas du tout dans ces
approchesl l’idée d’ vivre c’est de pouvoir extraire de la data pure que les gens vont pouvoir après utiliser et pas
de la data qu’on pourrait mettre au sens de la vente au sens du marketing c’est ça exactement exactement le le marketing
est décorrélé de de Ben des préoccupations en fait des gens or et alors on peut se
dire bon bah peut-être que l’État quand j’achète une maison j’ai mon dossier IAL qui va m’informer correctement sur tous les
risques ou en tout cas les préoccupations c’est pas tout à fait vrai aujourd’hui si on prend la question des zones inondables on a que un tiers
des communes qui ont un PPRI approuvé un plan de prévention du risque inondation c’est-à-dire que quand on prend
l’exemple de des communes du nord qui ont été inondées l’an dernier euh c’est
euh on a nous on a on a croisé donc les zones réellement inondées les les achats
sur la DVF des trois dernières années on voit que c’est des achats primo acccédant euh 500 800 os le mè carré euh
c’est de la résidence principale c’est des gens qui sont aujourd’hui inondés qui peuvent plus revendre pourront plus assurer euh et qui sont qui subissent le
sinistre et ces gens-là il y a un petit côté un peu scandaleux c’est quis ont pas été informé informés officiellement
proprement de de l’inondabilité du secteur précisément alors qu’on aurait
tout à fait le le les possibilités de les informer et c’est ce qu’on fait sur où vivre et donc où vivre
la enfin les les données sont à destination justement du futur acheteur
ou ils sont à destination de la personne qui va accompagner l’acheteur c’est quoi votre stratégie là-dessus les deux les
deux les deux alors alors on priorise nous on aimerait garder ce fil rouge
de de de l’individu du citoyen de l’habitant tout simplement parce que
c’est une manière pour nous aussi de pas être compromis de pas être attrapé de pas être on veut le prendre à témoin et
on veut que ce soit lui qui vienne ensuite s’adresser aux différents acteurs de de ce système ouais parce
qu’on verra qu’après il a aussi le choix de choisir justement la data qui lui l’intéresse et qui le préoccupe exa
exactement alors en fait on a où vivre c’est c’est plusieurs choses c’est une
data cartographiée mise à jour à usage individuel donc avec la donnée très fine
infracommunale on explose les limites administratives au maximum on est sur H
thématiques qui correspondent vraiment aux attentes climat pollution risque
environnement ou acheter dans un bon environnement paysage accès aux services
où est-ce que je vais trouver du travail où est-ce que je vais pouvoir créer ma boîte oou est-ce que je vais pouvoir télétravailler et à la fin à la fin on a
vraiment la question de la du passage à l’action que ce soit en achat en location en construction ou même pour
vivre autrement on a aujourd’hui des gens qui veulent vivre en colocation qui développent des nouvelles stratégies
pour vivre différemment sans entrer dans dans dans le marché forcément de de l’achat on a ça on a deux outils un
outil qui permet de de compiler en fait ses critères donc en fait les migrations enfin le choix c’est toujours des
facteurs push et des facteurs Pol et on est toujours dans cette entre deux et donc cet outil là il permet de dire je
veux exclure toutes les zones inondables par exemple je veux être à plus de 10 km d’usine cvzo seuil haut type Lubrizol et
en même temps je veux être à moins de 15 minutes à vélo d’une gare et j’affiche
sur ma carte de France instantanément toutes les zones compatibles avec ma avec C ce besoin là voilà et l’autre
outil c’est je veux comparer deux bien mais je veux je veux me placer dans l’espace vécu à pied à vélo ou en
voiture en 15 minutes 30 minutes 1 heure pour dire à quoi j’accède non seulement
géographiquement comme espace mais à l’intérieur de ces géographies qui sont uniques dans mon périmètre à chaque bien
combien de crèches combien d’éco combien de pharmacies combien de médecins combien de d’habitants et cetera ça
c’est c’est vraiment quelque chose qui permet de comparer de manière très objective des des biens immobiliers
ou vive c’est aussi un livre qu’on est en train de finaliser qui reprend le pourquoi du comment on va choisir telle
ou telle thématique telle ou telle comment on aborde en fait les choses parce que c’est des c’est des sujets de
réflexion derrière et c’est assez intéressant d’ailleurs de partir du côté faire une application et ensuite écrire
un livrere ça va dans l’aut sens et euh on échange avec des chercheurs là-dessus c’est vraiment un truc Liv parce que la
data je suppose qu’elle évolue vous êtes on en parlera après de justement comment est-ce que vous trouvez cette data comment est-ce que vous la sourcez de de
mettre ça noir sur blanc sur un livre quelque chose de figé c’est quoi leintérêtement justement l’intérêt c’est
que la réflexion du choix des thématiques elle va pas changer demain s’intéresser à tel sujet ça changera pas
demain et le livre en plus il est prévu pour être interactif c’est-à-dire on a un QR code sur chaque carte qui permet
d’accéder donc seulement à la carte à jour et en même temps directement de pouvoir la croiser avec avec d’autres
d’autres donné voilà et donc pour appuyer notre approche on a aussi une thèse en cours orianchell qui est dans
dans l’équipe et qui met à jour les datas qui qui fait une thèse CIFRE sur le sujet des migrations euh enfin des
des migrations liées aux zones inondable zones inondable avec l’UMR espace qui
est Avignon donc des chercheurs à la pointe sur cette question des zones inondables avec une ambition et ça change un peu des des thèses qu’on peut
voir oou c’est un sujet ultra précis sur un endroit ultra précis elle son terrain la France c’est vaste c’est l’Hexagone
du coup tout de suite on a du retour par rapport à ces sujets là euh de la part
des instances qui sont vraiment intéressés voilà et ça touche aussi ça vient aussi en réponse à nos industriels
qui sont nos clients historiques et qui eux ont ses besoin là dans un cadre réglementaire et qui sont obligés de de
répondre à ces questions et justement donc vous vous devez avoir vous une une data qui est mise à jour en permanence
comment est-ce que vous faites pour la trouver la sourcer la mettre à jour la on a compris qu’il y avait ces huit
grosses catégories de Data mais est-ce qu’il est prévu d’en rajouter comment est-ce que vous avez fait le choix de ces catégories alors les choix ils sont
venus le choix des catégories c’est c’est ça s’est vraiment construit dans le temps puis qu’on a pris beaucoup de
temps pour maturer en fait alors on a lu évidemment il y a des ouvrages de référence he comme les les ouvrages de
Jérôme Fourquier par exemple enin pour moi c’est des c’est des mines puisque c’est c’est une manière de faire de la
recherche en explosant les frontières en disant voilà je cherche à saisir un phénomène il y a pas de données exactes
en fait on on est sur des phénomènes qu’on analyse mais c’est toujours les éclairant avec différents faisceaux euh
et chaque faisceau n’est pas exact en lui-même mais c’est la somme de ces faisceaux qui permettent
de de comprendre un peu les choses euh et donc par contre nous on a une
culture de la data réglementaire avec derrière des responsabilités euh et donc
on est sur du règlement et on ce standard en fait de de qualité qu’on apporte à la data on s’est dit que le
grand public le méritait aussi et donc on applique ce même standard qu’on fait avec nos industriels pour le grand public ça c’est important après le choix
il vient aussi en fonction des questions des gens et on adore les questions des gens qui nous envoie et qui nous font
penser à des choses auquelles on avait pas forcément pensé c’est quoi par exemple la dernière question de personne qui vous a dit tiens ça c’est hyper
important comme data on n av pas spécialement pensé par exemple il y a il y a quelqu’un alors c’était marrant c’était cet été euh euh il y a un
retraité qui m’explique avec ma femme je vais tous les ans au beau de Provence en pèlerinage donc oui euh nous cherchons à
faire l’acquisition d’une maison mais j’ai très peur par rapport au Mistral
euh ah bon est-ce que vous pouvez m’indiquer les les endroits qui sont à l’abri plus à l’abri potentiellement du
Mistral donc c’est une donnée c’est un peu compliqué de récupérer des données météoance aujourd’hui euh donc on a
cherché on a cherché plusieurs plusieurs semaines même plusieurs mois et en octobre jeuréécris à cette personne en
lui disant on a trouvé sur une université danoise des chercheurs dans l’éolien qui ont fait des simulations
assez pertinentes sur le vent moyen à 10 m à l’année et donc je peux vous donner les zones abritées elles sont plutôt
vers là plutôt vers là donc voilà ça c’est le genre de réponse totalement concrète ouais c’est et donc par contre
ce qui est intéressant c’est qu’en amont vous vous avez tous travail de recherche sur qui a pu qui a cette data qui a pu
publier ces data la cohérence de ces datas qui est un gros travail je supposeououi on en jette on en nettoie
euh on garde pas tout il y a datagov alors c’est les principaux fournisseurs
l’INC le serema on a des données après de du du BRGM on va avoir des données
des agences de l’eau mais on travaille aussi avec des associations euh qui ont pu réaliser des études par exemple
sur voilà alors il y a eu oui oui par exemple sur la qualité des autres beignades c’est c’est un élément assez
important aujourd’hui on a bah des qualités inégales et on a des classements qui sont faites par des par
des agences de régionales de santé qui peuvent être questionné et donc on a des
des associations environnemental qui ne sont pas affiliés qui sont pas liés à la délivrance des pavillons bleus par
exemple et qui sont libres de dire euh telle plage est plutôt safe telle plage
est plutôt plutôt pas dangereuse mais bon contreindiquer ou si on a envie de
de se baigner en toute sérénité et donc voilà c’est des échanges puisque eux il
ils ont leur plateforme leur campagne nous on échange on peut récupérer leur data on les affiche on permet de les
croiser avec d’autres données voilà sur le potable c’est fantastique on travaille avec un une petite start-up
qui s’appelle liso il a monté une applie je mets le nom de ma commune je connais l’historique de tous
les prélèvements et des des taux en fait de de teneur en différentes bactéries et
partout en France et il avait pas au départ pensé faire la carte et nous on prend les choses on prend cette même
donnée mais sous l’angle de la stratégie résidentielle en se disant je vais afficher la France avec toutes mes
communes et je vais afficher bah là où l’eau potable est bonne ou moins bonne
et du coup ça fait aujourd’hui il y a des chosesfin c’est comme pourquoi enfin
pourquoi aller habiter à la campagne dans un beau un bel environnement visuel voilà entouré de de forêt et cetera et
être obligé d’aller acheter de de l’eau du en bouteille enfin c’est c’est c’est c’est dommageok et est-ce que vous êtes
en train de vous rendre compte ou dès le départ c’était une vraie volonté de se dire avec toute cette data et justement pouvoir l’offrir au grand public on va
changer la façon un petit peu d’investir des gens ou justement leur stratégie d’investissement immobilier est-ce que
ça c’était une volonté dès le départ ou c’est en train de le devenir justement avec l’interaction que vous pouvez avoir
avec bah cette personne qui souhaitait acheter au b de Provence alors on n pas on n pas changé notre vision depuis le
début et ça c’est plutôt rassurant OK c’est vraiment l’idée de je vais sur où
vivre pour confronter mes exigences mes besoin à la data et mais pas n’importe
pas de la enfin pas n’importe quelle data de la data ultra fine et surtout la data qui peut être compréhensible par
tout le monde très important chaque critère pris individuellement présente des des
indicateurs totalement compréhensibles par personne qui sait lire voilà c’est pas on n pas dans du du du croisement de
la pondération on doit pouvoir afficher ces critères de manière individuelle euh la la deuxième chose une fois que j’ai
confrontter ben je vais me rendre compte que je vais devoir faire des compromis je vais devoir faire des compromis et
donc euh je vais je vais euh je vais finalement m’ouvrir à des lieux au que
j’avais pas pensé auquels je des lieux non pensés au départ et ça c’est intéressant puisqueon va un peu mettre à
plat euh toute la partie mode endance et cetera pour se
questionner sur quels sont mes critères et comment ça se traduit dans la géographie
humaine climatique et cetera et cetera et le et voilà et donc ça c’est
important de pouvoir croiser ça donc c’est vraiment je je confronte mes idées je m’ouvre à des lieux impensé
évidemment à la fin je sécurise dans la mesure du possible je sécurise mes choix stratégiques puisque j’ai j’ai étudié
toutes ces dat parce que l’idée c’est ça c’est de pouvoir justement sécuriser son investissement pin dans le temps éviter justement de
devoir redéménager parce que j’avais pas pris en compte ce critère ou j’étais pas au courant de ce critère ok super nous
François pourquoi est-ce qu’on a décidé de de t’inviter et pourquoi est-ce qu’on trouve que c’est hyper pertinent
justement cet échange Pierre Emmanuel nous on a un score sur maselow un score pour nos investisseurs je crois qu’on
prend pas en compte justement tous les critères de François on verra après justement en fonction de gros critères
que nous on a comment est-ce qu’on peut les affiner avec avec les tiens François pierre est-ce que tu peux nous rappeler nous ce que c’est que le scoring Melow
et est-ce qu’il y a un bon scoring Melow c’est forcément un bon scoring chez où vivre non bah déjà la rencontre avec
François moi j’ai rencontré pour la première fois François sur le salon rent à à Paris euh voilà on a Florence chez
nous chez Maslow qui s’occupe du web marketing et aussi de la data qui va fouiller fouiller aussi pour qu’on sorte
des études pertinentes et quand j’ai rencontré François l’une de ses premières phrases c’était de dire tous ceux qui exploitent de la data dès qu’il
rajoutent du marketing ils enlèvent de la data pour que ça les arrange ce qu’on disait tout à l’heure voilà donc déjà j’ai adoré je me suis dit ok très bien
il m’envoie dans mon dans mon corner donc je et je lui ai répondu bah nous on a on a un score Maslow et ce score
Maslow ce sont des critères objectifs de la protection de l’investisseur immobilier c’estàd que si je te dis
aujourd’hui tu vas investir sur un secteur porteur ou sur une tension locative qui est importante c’estàd que
tu vas trouver des locataires donc tu vas avoir plus de candidats que que que d’offre donc ça va sécuriser ton
investissement on va regarder la géolocalisation des commerces et des services et des transports donc ça c’est
aussi de la data que l’on a donc on se dit qu’on peut vite se déplacer aller vers les écoles ou vers son travail donc
ça c’est des choses la profondeur de marché ça c’est quelque chose d’important pour nous parce que sur Internet on est aussi en concurrence
avec des gens qui nous expliquent qu’il faut aller investir sur des villes où peut-être il fait il fait bon vivre mais peut-être où la tension locative ou le
fait de sortir de ton opération à un moment donné si j’investis dans une ville de 5000 habitants où il y a 50 de
transactions par an tu vas avoir du mal à revendre donc ça ce sont des critères objectifs et ce score euh maselow il y a
20 données qui qui qui sont qui sont présentes et ces 20 données on les a
transformé un peu en nutriscore avec une note sur sur sur 5 c’est un peu ça l’idée et pour répondre à François sur
le marketing je dis bah tu sais nous on vend du neuf et et de l’ancien récent et sur le UF on a nos tuyau qui sont
branchés chez les promoteurs et donc ça passe dans l’algorithme et ça donne une note et tout ce qui est en dessous de 3/
5 n’est pas présent sur le site à la fois pour lui répondre en marketing ben je me fâche pas avec le fournisseur
c’est que le promoteur j’ai d pas ton projet il est pourri parce que sinon on va on va se fâcher je dis juste qu’il est pas euh sur sur mon site donc moi je
dis à François bah là où j’ai j’ai pas enlever du marketing là où je l’ai mis si ça correspond pas au critère c’est
pas présent sur le site et c’est un peu la promesse que l’on a chez Maslow c’est de la data objective et de l’expertise après pour te conseiller mais l’idée
c’était c’était plutôt c’était plus plutôt celle-là au départ ok ça et justement si on se dit ben je pense que
c’est un nos projet on ve verra à la fin du podcast mais nous ce qu’on veut c’est venir compléter scoring maselow
avec justement où vivre si par exemple on en parlait tout à l’heure un de mes premiers critères c’est ben je souhaite
un endroit où j’ai un bassin d’emploi où bah je vais avoir une tension locative parce que j’ai des gens qui cherchent
justement un emploi nous qu’est-ce qu’on va regarder comme donnée chez mas qu’est-ce qu’on va prendre en compte comme donné c’est là où François peut
nous aider à aller plus loin c’est que nous on va regarder de la de la data traditionnelle ce que tu évoqué tout à l’heure sur data.gov et cetera on va
regarder croissance démographique du du territoire taux de chage vacances locatives tension locative et
quand on échange avec François il dit bon bah il va dire c’est pas mal ouais justement par rapport à ça toi François
en quoi tu peux compléter qu’est-ce que tu vas compléter en plus sur par exemple alors je sais moi mais je pense que les
gens ont besoin de savoir justement sur ce bassin d’emploi tu parlais tout à l’heure télétravail où est-ce que je peux entreprendre c’est quoi la les
données en plus que vous allez pouvoir nous donner quand nous on prend un score alors nous on n pas de du coup
comme on n’est pas issu de l’immobilier on n pas de scoring de de rentabilité c’est quelque chose que voilà qu’on
découvre aussi c’est intéressant euh par contre sur la question de où vivre
effectivement où travailler donc ça peut être souvent on a le conjoint qui trouve d’abord le travail puis il faut trouver le travail pour le conjoint euh et il y
a des gens qui veulent télétravailler il y a des gens qui veulent créer leur boîte voilà donc on s’est pris un peu sur ces trois profils là sur la question
de trouver du travail on a fait on a utilisé une data qui est assez sous-utilisée je trouve c’est les
l’enquête besoin de main d’œuvre c’est une enquête qui est réalisée chaque année par France travail France travail
queon reçoit tous en fait qui interroge sur des questions très simples c’est
pour ça d’ailleurs que ils ont de la data parce que les gens il répondent tous les chefs d’entreprise répondent est-ce que vous allez
embaucher en 2025 si oui quel type de poste combien de personnes VO et la
compilation en fait de cette information là répartie sur les 344 bassins d’emploi
donne quand même une sacrée information elle permet de rassurer déjà et ça vient
directement des employeurs c’est pas de la donnée voilà c’est vraiment de la donnée chiffrée qui vient des employeurs
et donc ça permet de voir les métiers qui sont le nombre d’embauche par métier la tension les métiers en tension les
métiers saisonniers donc nous on exclut les métiers saisonniers pour faire parler de métiers durable et donc il y a
deux approches j’ai un métier je souhaite déménager dans un autre bassin d’emploi où je peux trouver justement je
trouve un job voilà où est-ce qu’on embauche dans mon métier OK ou alors euh
je m’intéresse absolument à ce bassin d’emploi je vais regarder la la typologie d’offre d’emploi dans ce
bassin pour éventuellement me reformer parce que je veux absolument travailler je veux habiter ici donc je veux
correspondre au marché local et donc ça c’est une approche intéressante complémentaire euh et la suite de cette
idée-là c’est de pouvoir une fois qu’on a ciblé sur un bassin d’emploi ciblé sur la commune et aller rechercher dans le
métier concerné euh les offres mais il y a des logiques de base de données qui sont faites différemment entre ce qu’on
trouve sur Pôle emploi par exemple les codes métier sont pas les mêmes que sur l’enquête besoin de mœuvre voilà et donc
on a des recroupements de métiers qui ont peu de sens et c’est un peu dommage mais c’est quelque chose qu’on travaille aussi qu’on travaille après sur le le
télétravail évidemment il faut ça comment est-ce que vous faites pour le mesurer pour mesurer bah justement le
télétravail ou le besoin en télétravail ou la possibilité de téléravailler c’est bah de toute manière c’est les bouquins
c’est jeanviard jeanviard par exemple voilà il fait des analyses sociaux pour lui l’avenir et c’est vrai que pour
l’instant c’est le télétravail ça va se développer et la livraison à domicile c’est des grandes tendances comme ça de
société et donc aujourd’hui alors je crois que c’est une trentaine de pourent de métiers qui peuvent se
télétravailler en région parisienne le voilà le télétravail n pas ok donc ça
c’est en fonction des emplois qu’on trouve dans cette région est-ce que ces emplois on peut les télétravailler sies
lois on peut les télétravailler en effet il y a un potentiel plus élevé de pouvoir télétravailler à cet endroit ça c’est ça et et et ça et attention il
faut croiser que si je me mets en télétravail il faut croiser avec la fibre la 4G faut pouvoir absolument avoir de l’Internet au débit la distance
au car euh faut pouvoir être connecté au grands de pôle urbain rapidement facilement ça on peut le faire sur où
vivre ouais alors ça c’est hyper intéressant aussi parce que nous souvent dans notre scoring ce qu’on va prendre en compte bah c’est comment est-ce que
j’accède à au service de la vie quotidienne comment à combien de temps je suis du d’une école d’un d’un
supermarché des transports mais nous on va prendre en compte dans le scoring Maslow uniquement ce qui est
traditionnel on va dire les moyens de transport traditionnels qui vont être voiture bus transort métro transport en
commun et justement il y a aussi quelque chose qui hy per intéressant en plus avec où vivre pierre dis-moi si je me
trompe c’est le changement euh de la façon dont les gens vont se
transporter ou vont se déplacer qui peut être trottinette vélo à pied euh et ça
c’est des choses que vous vous êtes capablees de mesurer que nous avant on prenait pas du tout en compte dans le scoring Masso et qu’on sait pas du tout
faire ou pas du tout mesurer h ouais alors c’est des choses que il il y a c’est un champ en fait très intéressant
à à travailler on travaille avec des étudiants duuknam en ce moment qui qui font un sujet
là-dessus on leur fournit la data et il travaillent sur les laapi notamment de la SNCF qui permet de relier parce qu’
en fait en transport public on a des effets tunnels on a des villes qui situent beaucoup plus proche voilà nous
à tour on a des Parisiens qui enfin qui vont travailler à Paris tous les jours 55 minutes VO c’est plus proche que de
banlie euh et donc on travaille là-dessus de gare à gare avec en compant
les correspondances et la fréquence des trains qu’est-ce qui est jouable à combien je suis exactement si j’habite
par exemple à Cholet c’est quoi pour aller à Paris pour aller à la mer enfin concrètement comment je me projette dans
mon environnement en transport donc ça c’est intéressant ensuite sur les les simulations d’acibilité à pied à vélo en
voiture on utilise en fait des des cartographies type open Street Map en
fait qui c’est la cartographie collaborative mondiale maintenant qui couvre voilà et qui prend en compte les types de voix en fonction de ce qui est
accessible à vélo ce qui voilà on va pas envoyer un piéton ou un vélo sur l’autoroute et inversement on envoie pas
une voiture sur des zones PIST cyclbl donc ça ça commence à être de plus en plus fin ces isochron là et c’est
vraiment intéressant parce qu’on est dans l’espace vécu euh ça ça c’est hyper intéressant pour nous pierre parce que
typiquement on a certains investissements où nos locataires ça va être des étudiants ou des personnes qui
ont pas de voiture et justement de prendre en compte cette donnée c’est aussi quelque chose qui est hyper
intéressant pour l’investisseur et la sécurisation de son investissement ouais c’est la c’est c’est d’ajouter une data
de façon de vivre en fait nous notre investisseur il a besoin d’être sécurité sur le prix la rentabilité et nous on va
ajouter le prix la rentabilité la sortie et donc la sortie d’un d’ un appartement que tu achètes pour y faire un
investissement locatif c’est quoi ma sortie je vais le revendre à quelqu’un qui peut l’acheter pour investir donc il
va avoir le même projet que moi donc est-ce qu’il va trouver un locataire est-ce queil y a eu du turnover est-ce
que j’ai une une chance que mon loyer progresse parce que j’ai une demande locative qui est peut-être plus forte
que la moyenne nationale donc ça c’est l’investisseur mais il y a surtout on voit bien dans les sorties des investissements le meilleur moment de
sortir d’investissement c’est quand même le moment où tu as un départ de locataire et donc ton logement est vide
puisque’à ce moment-là je peux toucher deux acquéreurs la résidence principale je vais acheter le logement que toi tu
as acheté euh pour investir en résidence principale ou je vais l’acheter pour le louer et si je suis sur des bassins plus
euh touristiques ou comme ça je vais faire je vais faire je vais dire par exemple leev tu vas pouvoir te dire je
vais pouvoir si mon logement est vide le vendre à quelqu’un qui va investir pour y habiter en résidence secondaire euh
pour le louer voire pour le louer en résidence secondaire donc là ça me fait qu acquéreurs potentiels si j’investis
dans un studio à roubé pour loger un étudiant ma sortie elle sera sans doute
un investisseeur sur un studio pour loger un jeune actif ou un étudiant donc en fait la la le prisme il est il est
pas le même ce qui est intéressant dans dans dans dans l’échange que l’on a et dans dans où vivre c’est de se dire que
nous on a les critères objectifs du score Melow sur lequel on va pas forcément le remettre en cause voilà
c’est CR aller plus loin le taux de chômage il il est mesuré une fois tous les la data Gou on a de la data qui
vient du gouvernement qui date de 2019 ou 2021 on est on est en 2025 l’enquête des des des chefs d’entreprises qui
recherchent tel emploi en octobre 2024 ouais c’est quelque chose que nous pasabit de c’est c’est pas c’est pas la
même chose donc voilà donc ça nous ça ça nous intéresse d’avoir de la data euh le
plus à jour possible parce que les modes de consommation changent les mode de de recherche de logement quand tu tu parles
de télétravail ça veut dire que la structure de mon logement il y a une Z pour télétravailler d’accord c’estàdire
que je suis parisien pour être caricatural je vis dans un T2 j’ai la
possibité de faire du télétravail donc je vais rechercher une ville accessible parce que je vais quand même bosser à Paris 3 jours par semaine mais il me faut un T3 donc voilà non mais T3 parce
que zone de bureau parce que bureau pour travailler parce que je suis quand même au travail en télétravail mais je vais quand même deux ou trois jours par
semaine à Paris donc queles sont les villes est-ce qu’il y a des nouvelles villes et moi je rapproche ça est-ce qu’il y a des nouvelles villes
connectées sur lequel j’ai une sécurité donc je trouve que N que que nos points de vue son sont se rapprochent parce que
un endroit où il fait bon vivre c’est aussi un endroit où il fait bon investir moi je dis toujours tout ce qui se loue
bien se revend bien voilà c’est une très forte demande locative tu as une très forte demande sur la transaction j’ai
pas d’exemple de ville en France sur lequel je vais avoir un gros bassin locatif qui est pas un gros bassin de de
transaction donc ça ce sont des critères comme ça mais on va on va plus loin je trouve ça intéressant d’apporter ça
comme éclairage aussi à nos et comment nous on va le traduire chez mas bien sûr il y a aussi un autre
indicateur qu’on trouvait extrêmement intéressant c’était tout ce qui était la vivre à l’écart des sources de pollution
des sources de pollution quand on parle de pollution on pense pas on pense à ces vaiseaux est-ce que
cette usine on en parlait tout à l’heure avec toi François mais on parle pas par exemple à ce qui peut être pollution sonore h et nous pollution sonore ça a
fait un petit peu écho chez Pierre Emmanuel et moi pourquoi parce qu’avant on avait nos bureaux qui étaient avenue de sax avenue de sax super avenu à lon
pre de tous les commerces pr des transport en commun mais par contre il a quelque chose qu’on peut pas du tout mesurer c’est la caserne de pompiers qui
est à côté juste en face juste en face de de nos anciens bureaux et où pour nous il était impossible de passer un
coup de téléphone à l’extérieur ou même d’être dehors parce qu’on avait en permanence cette sirène des pompiers et
vous je sais que c’est quelque chose que vous prenez en compte justement le bruit la nuisance cette pollution sonore qu’on
trouvait aussi nous hyper intéressant comme comme critère d’invest en tout cas
ah ouais je pense en en fait ça se mesure alors il y a on a participé il y a un an et demi avec le ministère de la
Santé qui av fait un petit c’était pas un Caton c’est une sorte de de des
groupes comme ça de de participants qui viennent de partout et on a travaillé sur la cube de la Communauté urbaine de
Bordeaux sur la cartographie des nuisances sonores donc on a appris plein de choses déjà puisqueon a la le son
moyen la journée la nuit on a les nuisances qui sont liés au trafic
aérien ferroviaire routier évidemment industriel pompier il faut l’ajouter euh
et donc c’est un sujet complexe et on s’est rendu compte alors c’est nous pour l’instant on affiche vraiment les les
nuisances des plans d’évaluation des bruits qui sont liés au trafic aérien c’est quand même quelque chose qui est assez assez gênant et qui touche encore
aujourd’hui des des zones pavillonnaires complètement mais on est en train de
l’étendre en ce moment sur ces différents enfin l’association de ces différents plans et il y a une
méthodologie qui a été développée d’ailleurs à Lyon et qui a vocation à
pouvoir s’étendre au niveau national là aussi ça demande du temps de travailler ça de pondérer les choses le cerema est
sur le coup aussi quand le cérema met en en action ces différents chercheurs sur
ces sujetsl il y a des choses qui sortent c’est comme les îos de chaleur c’est comme urbain c’est comme ces sujets là donc on est vraiment en lien
avec eux et donc quand quand il y aura une cartographie des nuisances sonores
euh à échelle nationale fine euh qui sortira on sera les premiers à la
récupérer euh si ça sort pas on le fera nous-même c’est ce qu’on a fait par exemple pour les pesticides euh voilà
après les pollutions c’est plusieurs choses hein c’est l’air alors les pollutions de l’air hein inériss observation euh on a deux
sources on a l’observation des des qualités de l’air et à côté on a les lieux de production des émissions
polluantes ou bien sûr de choses différentes qu’ fa arriver à croiser sans aller cibler des sources c’est pareil pour la
pollution agricole c’est pas du c’est pas de laagribashing de dire ces parcelles potentiellement utilisent
beaucoup de pesticides parce que si on avait des données de santé des données du ministère de la
Santé qui nous expliquait clairement voilà tel pesticide donne tel maladie à tel endroit on aurait pas besoin hein de
faire d’aller chercher les champs sur les référen agricole et cetera les données pqu mais on est obligé de
manière indirecte d’aller d’aller localiser ces endroits et pas simplement dire j’ai vu le reportage attention
c’est la vallée de la leucémie non il faut pondérer les choses il faut dire voilà donc l’usagep c’est là mais c’est
aussi là mais c’est aussi là donc sortir un peu du côté assez flippant finalement des des des reportages qu’on voit c’est
comme le dernier sur la qualité de l’eau potable qui est sortie récemment ça fait le buzz et finalement on finit par se
dire bon ben J pense pas je pas penser à ça tout le temps je peux pas vivre non nous en fait moi j’ai pas la mémoire je
suis pas du tout HPI ou j’ai pas la mémoire de de me souvenir de de tout ce que j’ai vu du coup c’est aussi un a
mémoire ces cartes là c’est de se dire ok on pondère ch durer le risque décider de
pouvoir être décideur de voilà et on en fait un outil d’aide à la décision pour le grand public pour pour sortir de la
fatalité un peu l’outil de la décision c’est notre job aujourd’hui nos clients
sont des gens qui qui veulent investir qu’ ont un objectif de vie qui peut être différent de la l’Ance principale tes
critères ne sont pas forcément les mêmes mais d’essayer de de sortir ou d’apporter des éclairages suffisants
pour te rassurer nous notre job c’est de rassurer les gens à partir du moment où la personne peut investir souhaite investir elle a un budget une fois qu’on
a déterminé le budget où est-ce que je vais sécuriser le plus son investissement c’est ça notre job chez masel mais le fait d’aller un petit peu
plus loin d’apporter des écarages qui sont un peu différents qui vont te rassurer un petit peu plus à avec des
choses aussi peut-être plus à jour plus factuell il y a quand même une énorme différence de de de cartes de France sur
différentes sujets entre avant covid après covid donc ça veut dire les besoins ils sont ils sont ils sont aussi
ils sont aussi différents il y a des zones d’investissement aujourd’hui qui sont qui sont plus plus intéressants
voilà donc c’est ça c’est des choses qui qui qui qui nous intéressent et là justement Pier toi tu parlais de sécuriser les gens de pouvoir les
rassurer il y a aussi un indicateur que nous on a l’habitude de prendre en comp qui est le le facteur humain et nous
là-dessus on va s’arrêter à quoi revenu annuel moyen localisé et c’est tout on va mesurer le niveau de revenu dans une
zone je crois que che où vivre Franois vous allez bien plus loin sur qu’est-ce
qui peut rassurer les gens c’està dire le taux de criminalité l’insécurité ça vous pouvez vous le mesurer justement et
ouais al je sais pas si ça rassure vraiment les gens mais sur l’insécurité mais en tout cas ça peut rassurer effectivement ça dépend comment le
comment on le prend sur l’humain c’est marrant parce qu’on est parti euh aussi sur ce qu’on appelle les frontières
invisibles aujourd’hui toutes les villes se ressemblent on a même les mêmes types de bâtilles qui sont fait à Strasbourg
dans le Pays-Basque en Bretagne bon c’est un peu cette uniformisation or il
y a encore des traces et même parfois de la revendication de ces identités locales c’est terroir donc ça ça se
cartographie c’est des frontières invisibles c’est aussi les langues les langues régionales et tout ça donc ça c’est des choses qui peuvent porter
aussi des projets pour se dire je cherche cette identité là ses identités cette histoire et donc dans les dans les
les voilà dans dans les les candidats on va dire pour quitter les grande métropole on a ces profils là de gens
qui recherchent aussi de l’identité après sur l’humain effectivement on prend je suis à la
recherche par exemple d’un d’un endroit où on parle encore le basque oui on peut ça par exemple mais si si moi je mon
critère c’est de me dire j’ai envie d’investir dans un endroit où j’ai pas une chance sur de de me faire voler mon vélo ou alors ça oui ça évidemment ça
c’est aussi des critères que vous vous avez de la data que vous avez sur l’insécurité data on a de la data en
fait qui vient du ministère de l’Intérieur donc qui est fraîche hein qui est sortie chaque année donc là on est sur la donnée 2023 ok euh et qui
montre ben pour toutes les communes en fait les taux d’infraction les taux de
d’atteinte au véhicules et d’atteintte aux personnes donc ça c’est des choses intéressante euh après on sait que la
donnée communale elle va varier ben d’un quartier à l’autre et on a une data infracommunal maintenant qui est sorti
sur les cambriolages et tentatives de cambriolage on est sur du carreau de 200 m sur 200 m donc là on voit les
quartiers clairement on peut dire à tel endroit en 2023 sur ce carré de 200 m
sur 200 m euh il y a environ 30 maisons
sur 1000 qui ont été cambriolé ou qui ont subi une tentative de cambriolage
c’est une information quand même qui peut être intéressante et ça pour nous c’est hyper intéressant parce que ça même ça ça nous déstabilise par rapport
à ce critère là qui pouvait être les revenus moyens par habitant dans le quartier qui nous semblait être un
indicateur où on aller assez loin mais au final en fait tu sais que j’adore les
instagramurs donc en ce moment il y a des instagramurs qui m’explique tu vas sur meilleurs agents tu regardes le prix
moyen au mètre carré tu vas sur le boncoin et tu repères des appartements qui sont moins chers au mètre carré dans
telle ville donc tiens je suis né à C donc je vais prendre la ville de camp et puis tu te dis bah tiens le prix moyen au mèt carré àacant je sais pas c’est
2300 € tiens tu cherges les annonces qui sont moins chers je vais si tu t’inscris gratuitement à notre web web classe bah
on t’enverra le tableau Excel pour les travaux et tu feras le meilleur investissement de ta vie grosso modo c’est ça donc bah tu fais l’exercice
hein tu es pas plus bête qu’un autre et tu t’aperçois que les annonces qui vont arriver sur camp qui vont être moins
cher qui vont respecter les critères vont être dans des quartiers qui sont un peu difficiles je vais citer la guerinière la grâce de Dieu vu que je
connais bien ce ce cette vieà c’est c’est là où je suis né et là où j’ai grandi bah c’est pas forcément là où moi
je vais te dire tu vas est-ce que il faut investir à quand la réponse elle est oui c’est c’est c’est une ville qui est intéressante d’accord mais dans la
ville à un moment donné je suis pas cané j’habite à Lille j’habite à Lyon
j’habite à Paris mon budget me permet d’investir sur cette villelà sur un marché en tenstion locative on va
respecter tous les critères mais si l’appartement que je trouve que Pierre Paul ou Jacques m’a proposé il est dans
dans les deux quartiers que j’ai cité ce que je peux t’assurer c’est que tu vas avoir un turnover nétif parce que si la personne qui habite mon
logement en tant que locataire ne s’y sent pas bien parce qu’il y a peut-être un peu plus d’insécurité un peu plus de
délinquance un petit peu plus de zone urbaines sensible elle ne restera pas donc tu changeras de locataire et quand
tu revendra il y aura des gens qui n’auront pas envie d’habiter dans ces quartiers là donc en fait la data elle fait pas tout on narrivera jamais à
rentrer un investissement locatif à 100 % dans un dans un tableau Excel et acheter fr c’est justement sur une zone
géographique la granularé etenirom et ultraom là où
tu tu souites habiter ok dernier dernier critère qui que nous on a trouvé aussi
intéressant c’était tout ce qui était critère géographique ENF vue mer vue montagne ou c’est vrai qu’on a pas du
tout nous l’habitude de prendre ça en compte comme critère comment pourquoi est-ce que vous avez décidé ça de de l’intégrer c’est une demande c’était
quelque chose de ludique est-ce que c’est quelque chose d’intéressant ça c’est vraiment un sujet du coup pour le
coup là on a vraiment créé la donnée ok vous c’est exclusif et à une échelle
fine d’où est-ce qu’on voit la mer premier exemple d’où est-ce qu’on voit la chaîne des Pyrénées d’où est-ce qu’on
voit le Montblanc d’où est-ce qu’on voit la cathédrale du MEN d’où est-ce qu’on voit voilà ça pour faire ça on a
travaillé à partir des outils qui sont aujourd’hui utilisé pour établir en fait
les zones d’impact au sens négatif visuel euh des les éoliennes notamment
il faut pas que de de l’église je vois l’éolienne l’éolien ouais et on a détourné en fait dans l’aut sens dans
sens voilà on a mis plein de points dans la mer tous les 2 km tous les 500 m un
peu d’autres un peu plus loin on s’est limité à 10 km de recul dans les terres OK et en fonction de la topographie euh
fine he c’est 1 m c’est du 1 m de de de de précision en fonction de la
végétation et du type de végétation on va avoir des hauteurs différentes et en fonction de la hauteur des B aujourd’hui on a des bases de données bâtiment qui
sont qui sont très bien on arrive à déterminer en fait les zones d’où on voit un ou plusieurs points dans la mer
donc d’où on voit la mer et donc quand on croise cette information là avec les données du
Géoportail de l’urbanisme avec les zones abâtir on peut d’ors et déjà sur à
l’échelle tout de suite de toutes les côtes en 30 secondes afficher toutes les zones qui vont être urbanisées avec vue
sur mer OK et donc les zones urbaines aussi donc donc là c’est c’est un peu le là on est tout en haut de la pyramide de
M ou oui mais mais c’est c’est à la fois et amusant et tu sors des critères
objectifs tu imagin échang avec le client alors moi j’ai je peux vous citer une anecdote mais c’est vrai que les les
clients parfois ils rentrent de l’affecte dans leur investissement et donc l’étage l’exposition c’est des
choses qui sont importantes moi j’ai souvenir d’avoir vendu des appartement sur la côte nord Bretagne la côte de
granit rose ou B tuenvoie une proposition un client tuenvoie tuenvoie un plan une simulation
et cetera la dame me rappelle ah franchement super Z vraiment bien cette résidence ça nous plaît bien et cetera
bon par contre plein or c’est pas possible voilà et je je lui dis avec
toute ma candur ben par contre plein nord il y aura vu mer et plein sud il y aura vu sur le parking et c’est à vous
de c’est à vous de décider quand tu es à la montagne l’exposition non c’est est-ce que tu vois la vallée est-ce que
tu vois la montagne enfin tu as des immeubles tu d’accord qui sont coller direct tou ton balcon etig je suis sud-est oui mais le tu le
verras pas le soleil au premier étage et donc ça c’est des critères sur lequel quand tu en parles avec avec des gens nous tu sais on est sur une vente à
distance on est en visio et cetera donc c’est c’est important de de se dire mes critères objectifs et puis après quand
on rentre le subjectif c’est généralement là que la vente ne se fait pas mais quand tu abordes des sujets comme ça tu parles tu prenais l’exemple
du bruit tout à l’heure avenu de sax bah avenu de sax vu sur les pompiers tu étais très bien exposé on est d’accord
c’est que la meilleure exposition c’était c’était celle-là et en fait dans l’immeuble fallait faut investir ru de
crky derrière sur lequel il y a moins de nuisance tu as pas les pompiers et tu as une moins bonne exposition tu as le même quartier tu as la même tension locative
tu as la même valeur de loyer donc ça c’est des critères objectifs parce que moi mon loyer dans une résidence vue sur
mer pas vue sur mer l’écart il va pas être énorme d’accord mon T2 résidence principale location à l’année c’est pas
énorme en plus tu vas payer plus cher tu as vu sur la mer ce qui est normal mais par contre le critère c’est un peu le côté Paris c’est à ma revente h celui
qui va vouloir habiter là le potentiel il est peut-être plus important donc en fait moi je suis là pour donner les infos au clients s’ privvilégie la
rentabilité il il va me prendre la vue jardin ou la vue parking s’il prévilégie la sortie il faudra qu’il prenne la vue mère après c’est combien de mois ou
d’années de loyer me coûte ma vue mère pour que j’espère la sort la sortie donc ça c’est des choses qui sont amusantes
en plus avec le client monieur hyper hyper ludique on vient de voir justement comment est-ce qu’on pouvait compléter nous les critères traditionnels avec
avec les critères d’ vivre si Pierre toi tu tu pouvais demander à François de
développer ou d’avoir un critère en plus ou une data qui t’intéresse que où vivre n’a pas ce serait quoi alors c’est pas
que où vivre n pas mais on a déjà parlé parce que je suis c’est pas moi le le monsieur retraité qui cherche une maison
dans les B de Provence mais par contre j’ai plein de demandes à François non moi ce qui m’a toujours intéressé dans les villes les eres urbaines ce sont les
projets urbains c’est systématiquement dans une ville quand il y a un projet d’extension de tramway de nouvelle ligne
de de de tram systématiquement c’est de l’aménagement du TER territoire et moi l’aménagement du territoire m’intéresse
parce que là où tu prolonges un tram à MRO et ben tu sais que tu vas construire
des écoles des commerces des bureaux des logements et donc déconstruire des bureaux des des commerces et des
logements ça veut dire comment les logements bah est-ce que et puis aujourd’hui les quartiers sont pensés pour mieux y vivre les municipalités
elles font quand même elles font quand même des jobs pour relier les les les la connexion de de
ces extérieurs de ville au centre-ville avec des bus à fréquence rapide ou des tramou des zones de vélo des zones où je
vais pouvoir emmener mes enfants des parcs et cetera donc généralement ce sont des des des des des endroits qui sont mieux que ce qui est existant et
quand c’est mieux bah les gens se déplacent c’est-à-dire que il y a les nouveaux habitants qui vont arriver mais on le voit nous dans le neuf et l’ancien
il y a des marchés sur lequels la tention locative elle est pas géniale pour autant quand tu sors une résidence neuve bah tu as les gens qui habitai
dans l’ancien habitat qui était pas cool je vais prendre Toulon par exemple comme ville qui a une ville en terme de qualité d’immobilier ancien moyenne tu
sors une résidence neuve h les locataires qui étaient là dans les 70 migrent donc en fait auutau de
remplissage il est intéressant et donc moi la demande à François c’est ça c’est sors-moi les projets urbains pour me
dire comment la ville va changer notamment sur les moyens de transport parce que je trouve que les moyens de transport sont l’aménagement du du
territoire pour pouvoir dire à mon candidat investisseur ton horizon de placement c’est 5 ans 10 ans 15 ans je
vais te faire investir là dans 10 ans voilà ce que la la ville sera et je te rassure ce donc voilà un peu moi la la
ma demande et vous François de votre côté est- est-ce qu’il y a des des données que vous avez prévu justement d’intégrer ou est-ce que ça ça fait
partie ou ouais alors sur sur cette question là on peut le on peut indirement avoir cette information quand
on regarde les documents d’urbanisme puisque on a des zones réservées on a des zones à urbanisé dans le futur et on
peut connaître le détail donc en cliquant on a le détail on téléchar charge pas directement le le le PLU en
entier sur vivre mais on a on accède très facilement au Géoportail de l’urbanisme qui permet d’avoir tout donc
on a indirement ses infos après c’est vrai que c’est des sujets de prospective super intéressants et qui se placent à
toutes les échelles évidemment nous à tour il est question d’une deuxième ligne de tramou par exemple les acteurs
locaux de des promoteurs des immobiliers sont déjà sur le coup depuis des années ils établissent des hypothèses voilà
c’est déjà on sait que tel quartier va prendre de la valeur l’arrêil il va être ici parce que voilà c’est des
négociations qui sont impermanent donc pouvoir avoir accéder à cette information de l’extérieur c’est un coup
d’avance qui a important euh si je me place mais à n’importe quelle échelle je me place à l’échelle d’un village euh
l’évolution du document d’urbanisme l’évolution du PLU c’est un enjeu de une zone qui devient constructible une zone
qui devient naturelle et donc protégée dans toutes les dans tous les villages vous avez dans toutes les bonnes
familles d’agriculteurs vous mettez quelqu’un au conseil municipal qui a la vue sur ces évolutions protège les
intérêts des uns et des autres ça ça marche comme ça et donc le fait de le connaître de l’extérieur c’est un sacré en jeu parce que c’est des choses
effectivement qui permettent de gagner du temps et d’avoir mais on on remplacera je pense jamais l’avantage
que peuvent avoir les locaux ou les gens déjà implantés sur le sur le territoire pour ça après sur les évolutions nous ce
qu’on aimerait bien là sur qu’ ce sur quoi on aimerait bien travailler c’est passer de Data même
récente fixe à de la data dynamique en tendance aujourd’hui on a des grandes tendances on a des tendances qui
évoluent sur tous ces marchésl ça j’ai vu je crois que c’était possible j’ai par exemple le nombre de nuit tropical
alors ça c’est endroit donc ça j’ai vu justement qu’on pouvait le faire évoluer dans le temps je trouvais ça hyper
intéressant c’est un petit peu l’idée c’est de pouvoir faire ça avec oui on le fait sur le climat mais sur l’immobilier
euh c’est enfin c’est pas prioritaire pour notre notre individu notre citoyen
qui est notre cœur de cible au début on est plus là sur l’accompagnement euh justement avec en
B2B quoi B2B quoi est on est plus et ça c’est un sujet justement c’est quand je
suis arrivé au rent je leur ai mis dans la présentation euh je leur ai dit il y a attention il y a un nouveau métier qui
va qui va se développer c’est le conseil en stratégie résidentielle vous passez à côté des attentes des gens euh tout le
secteur d’immobilier vous vous évoluez vous vous rendez hyper confortable l’acte d’achat demande euh le le l’accès
à plein de Data mais qui sont pas les datas les plus pertinentes et donc à côté donc les attentes des gens bah la
défiance elle concerne aussi le monde de l’immobilier elle concerne pas que les politiques voilà et et donc pour
rattraper le cette tendance là et peut-être remettre en valeur aussi l’image de de l’agent immobil installé
qui travaille sur la confiance de génération en génération et donc parce que justement il connaît les enjeux il
sait que c’est inondable il sait qu’il y a des argiles il sait voilà et donc cet outil il permet ça il permet ça et donc
on a beau avoir des critères qui pris individuellement sont parfaitement compréhensibles par tout le mond
il y a un moment où quand même ça commence à chauffer dans le cerveau quand on commence à compiler on a beau
avoir l’outil de compilation et cetera mais peut pas prendre tout en compte bien sûr donc il y a deux évolutions sur
ou vive là qu’ qu’on est en train de travailler c’est ça c’est justement travailler avec des conseillers en
stratégie résidentielle qui sont aujourd’hui qui sont les qui ont les mêmes besoins que les conseillers en en
investissement locatif puisque si on est un bon conse un bon conseiller locatif
on se projette comme si on était le client final final euh voilà et euh et
voilà et donc essayer de de dévoluer là-dessus et l’autre aspect c’est travailler sur les le le déploiement de
la génération de rapport automatique euh type je mets une adresse je choisis ma
Formule de rapport je sors mon rapport et là un rapport sur une adresse avec tout tout donc il compile
automatiquement les donnes compile automatiquement tout la prospective c’est intéressant euh on échangé tout à l’heure c’est vrai que euh nous par
exemple notre nos nos clients euh plutôt jeunes définissent un budget ce budget
leur permet de pas forcément investir là où ils travaillent dans des grands centres urbains donc on est là pour les sécuriser leur apporter la bonne
information sur certains territoires souvent le budget leur permet d’investir sur des petites surfaces petite surface égale célibataire ou étudiant et donc on
échangeait sur l’étude que nous on avait fait sur les places de parcours sup en disant voilà la data traditionnelle
c’est tel nombre de villes tel tel nombre d’étudiants super c’est un bassunion bah tuas retrouvé le top 10 qui va toujours être le même avec Lyon
reenn Strasbourg et CEA et donc on avait pris les places de parcours sup le nombre de décoabitants dans dans dans la ville
donc ça c’était de la data qui était hyper intéressante pour dire à notre client là si tu investis sur ce marché
de la résidence étudiante et peut-être même que je peux te déconseiller d’investir sur du T3 ou du T4 sur le marché locatif d’accord donc peut-être
que tu vas trouver une information qui sur marché locatif il est pas terrible et moi je vais te dire que sur cette ville-là le marché locatif à vocation
c’est célibataires jeunes actifs ou étudiants si tu reparles tout à l’heure de si tu ajoutes place de parcours
support d’augmentation des cohabitants importantes et éventuellement l’étude de
des besoins des besoins de manœuvre là je te rassure sur le fait que tu vas investir trouver un locataire dans le temps ton loyer va progresser tu vas
surperformer là tu es dans les choses qui sont in et là tu es dans la prospective alors que là on on parle de
photographie photographie et prospective bah ça aussi un peu notre job donc c’est c’est hyper intéressant en tout cas
merci François merci merci pierre on peut déjà dorén avant dire nous en tout
cas que on a trouvé ces données hyper intéressantes ça a mis une vraie claque un petit peu à ce qu’on pensait être les
bons indquateurs pour pour un futur investisseur et je pense que on peut aussi dire à nos auditeurs que
rapidement on va retrouver en complément du scoring Maslow un scoring où vivre on va justement essayer de compiler nous
les données qui on qu’on semble intérêt qu’on semble intéressante à à donner en tout cas à nos investisseurs et en tout
cas on peut commencer à teaser rapidement sur mas on retrouvera on va faire évoluer le score m donc so on va
on va garder le score Mo sur les critères objectifs d’investissement parce qu’on parlait de rentabilité et son des choses qui sont importantes mais
on va ajouter un critère la forme on l’a pas encore on l’a pas encore sur le bien viv parce que pour nous le bien vivre
c’est bien vivre bien loué bien revendre finalement c’est un peu ça et donc effectivement les connexions vont se
faire parce que à chaque fois qu’on poser une question à François il trouve la réponse forcément nous ça nous AR
merci en tout cas François à vous merci beaucoup merci Pierre merci j

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