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Notre guide sur l’investissement locatif en SCI

Dans cet article vous trouverez :
L'investissement locatif en SCI

Vous avez entendu parler de la Société Civile Immobilière (SCI) et vous vous demandez si c’est la solution idéale pour réaliser un investissement locatif ? Vous êtes au bon endroit. De plus en plus d’investisseurs choisissent cette structure pour gérer et optimiser un patrimoine immobilier, et ce n’est pas sans raison. La SCI offre une flexibilité unique pour investir à plusieurs, tout en bénéficiant d’avantages fiscaux intéressants et d’une gestion simplifiée.

Ce guide complet vous aidera à comprendre comment investir dans l’immobilier avec une SCI peut vous permettre de maximiser vos gains, de simplifier la gestion de vos biens locatifs, et de protéger vos héritiers.

Qu'est-ce qu'une SCI ?

La Société Civile Immobilière (SCI) est une structure juridique qui permet à plusieurs personnes, appelées associés, de détenir et gérer ensemble un ou plusieurs biens immobiliers. Contrairement à l’achat en nom propre, la SCI offre un cadre flexible pour investir à plusieurs. Vous pouvez investir avec des membres de votre famille, des amis ou encore des partenaires d’affaires par exemple.

En créant une SCI, chaque associé détient des parts proportionnelles à son apport initial, que ce soit en argent ou en nature (par exemple, un bien immobilier). La gestion du bien est ensuite partagée entre les associés, sous la direction d’un ou plusieurs gérants, désignés lors de la constitution de la société. Une SCI offre trois gros avantages : 

  • Flexibilité dans la gestion : Les décisions sont prises de manière collective, ce qui permet d’adapter la gestion en fonction des besoins des associés.
  • Transmission facilitée : La SCI permet de transmettre facilement ses parts sociales, avec une fiscalité souvent plus avantageuse.
  • Protection des associés : En cas de difficultés financières, chaque associé est responsable à hauteur de sa participation dans la SCI, ce qui limite les risques personnels.

Il existe plusieurs types de SCI, chacune adaptée à des besoins spécifiques :

  • La SCI familiale : Très populaire, elle est utilisée pour faciliter la gestion et la transmission de biens entre membres d’une même famille. Elle permet de transmettre un patrimoine à ses enfants tout en évitant des frais de succession importants.
  • La SCI de gestion : Son objectif principal est de gérer un ou plusieurs biens immobiliers en vue de percevoir des revenus locatifs. C’est le cadre idéal pour un investissement locatif à plusieurs.
  • La SCI d’attribution : Moins courante, cette forme permet à plusieurs associés de se réunir pour acquérir un bien dans le but de le diviser et de se partager la propriété par la suite.

Quels sont les avantages de la SCI pour un investissement locatif ?

Les quatre avantages de créer une SCI pour un investissement locatif sont les suivants :

  • Une gestion simplifiée et partagée
  • Un cadre fiscal avantageux
  • Une transmission facilitée
  • Des risques financiers limités

Une gestion simplifiée et partagée

L’un des principaux attraits de la SCI est la possibilité de gérer un bien à plusieurs. En investissant avec des proches ou des partenaires, vous partagez non seulement les frais d’acquisition et de gestion, mais aussi les responsabilités. Contrairement à l’achat immobilier en indivision, la gestion collective offert par une SCI, permet d’éviter la prise de décisions unilatérales et apporte plus de souplesse dans la gestion quotidienne du bien immobilier.

Également, si vous investissez avec des membres de votre famille, chacun peut détenir des parts de la SCI en fonction de son apport initial. Cela permet une transparence dans la gestion et la répartition des revenus locatifs. Par ailleurs, en désignant un gérant au sein de la SCI, vous vous assurez également que la gestion administrative soit centralisée, ce qui simplifie grandement les démarches.

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Un cadre fiscal avantageux

L’un des aspects les plus séduisants de l’investissement locatif en SCI est la flexibilité en matière de fiscalité. Vous avez la possibilité d’opter soit pour l’impôt sur le revenu (IR), soit pour l’impôt sur les sociétés (IS), chaque régime ayant ses propres avantages.

Avantages fiscaux de la SCI à l’impôt sur le revenu (IR)

Opter pour l’impôt sur le revenu vous permet de bénéficier d’un régime fiscal dit “transparent”, où chaque associé déclare sa part des revenus fonciers. Vous pouvez choisir entre deux régimes fiscaux :

  • Régime micro-foncier : Si vos revenus locatifs sont inférieurs à 15 000 € par an, vous bénéficiez d’un abattement automatique de 30%. Vous n’êtes donc imposé que sur 70% de vos revenus fonciers, ce qui simplifie la gestion fiscale tout en réduisant la base imposable.
  • Régime réel : Si vos charges dépassent 30% des revenus fonciers, le régime réel vous permet de déduire un certain nombre de dépenses, comme les travaux, les intérêts d’emprunt ou les assurances, pour diminuer encore davantage la base imposable.

De plus, en cas de revente du bien immobilier, la plus-value est soumise au régime fiscal des particuliers, avec des abattements progressifs à partir de la 6e année de détention. Après 22 ans, vous êtes totalement exonéré de l’impôt sur la plus-value, et après 30 ans, vous êtes également exonéré des prélèvements sociaux.

Avantages fiscaux de la SCI à l’impôt sur les sociétés (IS)

Si vous optez pour l’impôt sur les sociétés, la SCI est directement imposée sur ses bénéfices au taux de 25%, avec un taux réduit à 15% pour les premiers 42 500 € de bénéfices, sous conditions. Ce régime présente plusieurs avantages :

  • Déduction des charges : Vous pouvez déduire des dépenses supplémentaires, comme la rémunération du gérant, ce qui diminue le montant des bénéfices imposables.
  • Report des déficits : En cas de déficit foncier, la SCI peut reporter ces pertes sur les bénéfices des 10 années suivantes, permettant ainsi de lisser la charge fiscale dans le temps.

Cependant, la fiscalité des plus-values est plus contraignante à l’IS. Les plus-values sont imposées au taux de 25%, sans possibilité d’abattement, quel que soit le temps de détention du bien.

Une transmission facilitée

La SCI est également un excellent outil pour préparer la transmission de votre patrimoine. Contrairement à un achat en nom propre où la transmission d’un bien immobilier peut être complexe et coûteuse, la SCI permet de transmettre progressivement les parts sociales à vos héritiers, en bénéficiant d’avantages fiscaux. En effet, si les parents ou grands-parents cèdent progressivement leurs parts dans la SCI à leurs enfants ou petits-enfants, ils bénéficieront d’une exonération qui fonctionne de la manière suivante :

  • Donation parents enfants : le donataire est exonéré du paiement des droits de mutation dans la limite de 100 000€ tous les 15 ans.
  • Donation grands-parents-petits-enfants : le donataire est exonéré du paiement des droits de mutation dans la limite de 31 865€ tous les 15 ans.
  • Donation arrière-grands-parents-arrière-petits-enfants : le donataire est exonéré du paiement des droits de mutation dans la limite de 5 310€ tous les 15 ans.

Limiter les risques financiers

En investissant en SCI, vous limitez également vos risques financiers. En effet, chaque associé est responsable des dettes de la société à hauteur de ses apports. Cela signifie que si la SCI rencontre des difficultés financières, vos biens personnels ne sont pas directement impactés. Ce mécanisme de protection offre une certaine sécurité pour les investisseurs, tout en facilitant l’accès au crédit immobilier, puisque le risque est réparti entre plusieurs associés.

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Comment constituer une SCI pour un investissement immobilier locatif ?

Choisir les associés de la SCI

La première étape consiste à choisir vos associés. Une SCI doit être composée d’au moins deux associés, qui peuvent être des personnes physiques (membres de la famille, amis) ou des personnes morales (entreprises).

Rédiger les statuts de la SCI

Les statuts de la SCI sont l’acte fondateur de la société. Ils doivent être rédigés par écrit et inclure un certain nombre d’éléments obligatoires :

  • La dénomination sociale : le nom de votre SCI.
  • L’objet social : la description de l’activité de la société, qui doit être exclusivement civile (par exemple, l’acquisition et la gestion de biens immobiliers en location).
  • Le siège social : l’adresse administrative de la SCI.
  • Le capital social : il peut être fixe ou variable, et est constitué des apports des associés (en numéraire ou en nature, comme des biens immobiliers).
  • La répartition des parts sociales : en fonction de l’apport de chaque associé, les parts sociales sont réparties proportionnellement, ce qui déterminera les droits de vote et la répartition des bénéfices.

Les statuts doivent être rédigés avec soin, car ils définissent les règles de fonctionnement de la société et peuvent inclure des clauses spécifiques (comme la nomination du gérant, la répartition des bénéfices ou la gestion des conflits entre associés). Il est conseillé de faire appel à un notaire ou à un avocat pour s’assurer que les statuts respectent les obligations légales et protègent les intérêts de tous les associés.

Nommer un gérant

La gestion quotidienne de la SCI est confiée à un ou plusieurs gérants, qui sont désignés par les statuts ou par une assemblée générale des associés. Le gérant peut être un associé ou une personne extérieure à la société, mais il est recommandé de choisir une personne de confiance, car elle sera responsable de la gestion administrative, fiscale et comptable de la SCI. Le gérant a également un rôle crucial dans la gestion des biens immobiliers de la SCI et dans la représentation de la société vis-à-vis des tiers.

Déposer le capital social

Une fois les statuts rédigés, vous devez déposer le capital social de la SCI sur un compte bancaire dédié. Le capital social peut être constitué d’apports en numéraire (argent) ou en nature (biens immobiliers, meubles, etc.). Il n’y a pas de minimum légal pour le capital social d’une SCI, mais il doit être suffisant pour couvrir les besoins de la société. Un capital trop faible peut limiter les possibilités de financement ou être mal perçu par les établissements bancaires.

Enregistrer les statuts et immatriculer la SCI

L’étape suivante consiste à faire enregistrer les statuts de la SCI auprès du Service des Impôts des Entreprises (SIE), puis à immatriculer la société au Registre du Commerce et des Sociétés (RCS). Cette immatriculation est obligatoire pour que la SCI acquière la personnalité juridique. Pour cela, vous devez déposer un dossier complet au greffe du tribunal de commerce, comprenant les statuts signés, le formulaire M0, et d’autres documents justificatifs (comme l’attestation de dépôt du capital social et une copie de la pièce d’identité du gérant). Aujourd’hui vous pouvez remplir votre dossier de demande de création et d’immatriculation de votre SCI auprès du guichet unique sur le site de l’INPI.

Une fois immatriculée, la SCI reçoit un extrait Kbis, qui constitue son « acte de naissance » et qui lui permet d’agir en tant que personne morale (par exemple, pour signer des contrats ou ouvrir des comptes bancaires au nom de la société).

Obligations administratives après la création

Après la création de la SCI, certaines démarches administratives doivent être effectuées :

  • Publier une annonce légale : Cette formalité consiste à publier un avis de constitution dans un journal d’annonces légales. Cela officialise publiquement la création de la société.
  • Tenue de la comptabilité : Même si les SCI à l’IR n’ont pas de lourdes obligations comptables, il est recommandé de tenir une comptabilité rigoureuse. Si votre SCI est soumise à l’IS, vous devrez obligatoirement tenir une comptabilité d’engagement et déposer les comptes annuels.

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Quelles sont les limites de l'investissement en Société Civile Immobilière ?

Complexité administrative et gestion

La gestion d’une SCI implique certaines démarches administratives et obligations qui peuvent se révéler lourdes. Même si la SCI à l’impôt sur le revenu (IR) ne nécessite pas de tenir une comptabilité rigoureuse, elle impose tout de même des responsabilités :

  • Rédaction et modification des statuts : Les statuts doivent être rédigés avec soin, et chaque modification (changement de gérant, répartition des parts, etc.) implique une modification officielle des statuts, parfois complexe et coûteuse.
  • Obligations comptables pour la SCI à l’IS : Si vous optez pour l’impôt sur les sociétés (IS), vous devrez tenir une comptabilité d’engagement et déposer chaque année les comptes au greffe du tribunal. Cela peut entraîner des frais supplémentaires  (expert-comptable) et requiert du temps.

Conflits potentiels entre associés

L’un des risques majeurs dans une SCI est la possibilité de désaccords entre associés. Comme les décisions importantes doivent être prises à la majorité, voire à l’unanimité pour certaines, des conflits peuvent surgir, notamment en cas de divergences sur la gestion du bien ou lors d’une vente. Pour éviter ces situations, il est essentiel de définir clairement les règles de gestion et de sortie dans les statuts, mais cela ne garantit pas l’absence de litiges.

Exemple : Si un associé souhaite vendre ses parts mais que les autres préfèrent conserver le bien, des tensions peuvent apparaître, ralentissant la gestion ou la cession du bien immobilier.

Fiscalité évolutive

La fiscalité de la SCI, notamment en matière de plus-values immobilières, peut évoluer au fil du temps. Bien que la SCI à l’IR bénéficie d’abattements progressifs sur les plus-values, ces abattements ne s’appliquent pas à la SCI à l’IS, où la plus-value est imposée au taux plein de 25 %, sans possibilité de réduction en fonction de la durée de détention du bien.

De plus, si vous optez pour l’IR, les revenus fonciers de la SCI s’ajoutent aux autres revenus des associés. Cela peut entraîner un passage à une tranche d’imposition supérieure, augmentant considérablement le montant de l’impôt à payer. 

Responsabilité illimitée des associés

Dans une SCI, chaque associé est responsable des dettes de la société à hauteur de sa participation. Si la SCI ne parvient pas à honorer ses dettes (par exemple, en cas de loyers impayés ou de pertes financières), les créanciers peuvent se retourner contre les associés et exiger le remboursement sur leur patrimoine personnel, proportionnellement à leurs parts. Contrairement à une société commerciale, les associés d’une SCI ne bénéficient pas de la protection d’une responsabilité limitée.

Restrictions liées à l’objet social

La SCI est une société à objet civil, ce qui signifie qu’elle ne peut pas avoir d’activité commerciale, comme la location meublée ou l’achat-revente de biens immobiliers à titre spéculatif. Ces restrictions peuvent limiter la flexibilité de votre projet immobilier si vous envisagez des activités plus dynamiques.

Exemple : Si vous souhaitez louer en meublé ou vous diversifier avec des locations saisonnières, la SCI n’est pas adaptée car ces activités sont considérées comme commerciales. Vous devrez alors envisager d’autres structures comme la SARL de famille ou la SAS.

Frais supplémentaires

Enfin, la création et la gestion d’une SCI impliquent des coûts. Outre les frais de création (rédaction des statuts, dépôt au greffe, publication dans un journal d’annonces légales), il faut prévoir des frais courants liés à la gestion (honoraires d’expert-comptable si vous êtes à l’IS, modifications statutaires, frais de notaire pour l’achat des biens, etc.). Ces coûts peuvent affecter la rentabilité globale de votre investissement, surtout si vous gérez un petit patrimoine.

FAQ sur l'investissement locatif en SCI

Vous avez encore des questions sur l’investissement locatif en SCI ? Voici les réponses aux questions les plus fréquemment posées pour vous aider à mieux comprendre cette structure et ses implications.

Les coûts de création d’une SCI varient en fonction des démarches effectuées. Vous devrez prévoir des frais pour la rédaction des statuts (entre 500 et 2 000 € si vous faites appel à un notaire ou à un avocat), les frais d’immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés (environ 200 €), ainsi que la publication dans un journal d’annonces légales (entre 150 et 250 €). Ces coûts peuvent augmenter si vous ajoutez des services supplémentaires, comme les honoraires d’un expert-comptable ou les frais notariaux pour l’achat de biens.

Non, la SCI est une structure à objet civil, ce qui signifie qu’elle ne peut pas exercer d’activités commerciales comme la location meublée ou la location saisonnière. Si vous souhaitez louer des biens en meublé, il est préférable de créer une société à objet commercial, comme une SARL de famille ou une SAS. Toutefois, dans certains cas particuliers, une SCI peut exercer une activité commerciale à titre accessoire, mais cela nécessite un cadre juridique spécifique.

La vente de parts de SCI est possible, mais elle nécessite l’accord des autres associés, selon les règles prévues dans les statuts. La vente peut être soumise à un droit de préemption des associés, ce qui signifie qu’ils ont la priorité pour acheter vos parts avant qu’elles ne soient vendues à un tiers. De plus, la vente de parts sociales peut être soumise à des frais de notaire et à une fiscalité sur les plus-values.

La SCI familiale est une forme de SCI souvent utilisée pour faciliter la gestion et la transmission du patrimoine immobilier au sein d’une même famille. Elle permet aux membres de la famille de détenir des biens en commun tout en optimisant la fiscalité sur les droits de succession et les donations. Vous pouvez transmettre progressivement vos parts sociales à vos enfants en bénéficiant d’abattements fiscaux, tout en conservant la gestion du bien.

Oui, il est possible de changer de régime fiscal après la création de la SCI, mais cela n’est pas toujours simple. Si vous êtes sous le régime de l’impôt sur le revenu (IR) et souhaitez passer à l’impôt sur les sociétés (IS), cette démarche est irréversible. Une fois que la SCI est soumise à l’IS, vous ne pourrez plus revenir au régime de l’IR. Il est donc important de bien réfléchir à votre choix fiscal dès le départ en fonction de votre projet et de vos objectifs à long terme.

Avec une SCI à l’IR, vous pouvez déduire de nombreuses charges des revenus locatifs, telles que :

  • Les intérêts d’emprunt pour l’achat du bien immobilier,
  • Les frais de gestion et de comptabilité,
  • Les travaux d’entretien et de réparation,
  • Les primes d’assurance,
  • Les taxes foncières. Si vous êtes à l’IS, vous pouvez également déduire la rémunération du gérant et amortir le bien, ce qui permet de réduire considérablement l’imposition.

La dissolution d’une SCI peut être décidée par les associés, soit parce que l’objet social est atteint (par exemple, vente du bien immobilier), soit en cas de mésentente ou de nécessité de mettre fin à la société. La dissolution suit une procédure stricte : les associés doivent voter la dissolution, un liquidateur est nommé pour régler les dettes et répartir l’actif, puis la dissolution est enregistrée et publiée. Cette procédure peut engendrer des frais (notaire, comptable, frais de publication) et doit respecter un cadre légal.

 

Cela fait 18 ans que j’évolue dans l’univers de la gestion de patrimoine et plus particulièrement de l’immobilier locatif. J’ai la chance qu’on m’ait confié le rôle de directeur délégué de Maslow, véritable bras armé digital du groupe. On entre dans une ère d’autant plus excitante et stimulante pour l’immobilier, et j’ai hâte de voir ce que Maslow nous réserve pour les années à venir.